SANTOIRE EST LE NOM - Compagnie de La Chamade, avec Marie-Hélène Lafon, Maxime Le Gac-Olanié, Laurent Poitrenaux et Mélanie Traversier - Durée : 1 h.
LECTURE EN SCÈNE - Mise en scène : Julia de Gasquet - Textes : Marie-Hélène Lafon - Administration et production : Mona Guichard - Scénographie : Adeline Caron - Régie et accessoires : Delphine Sainte-Marie - Images extraites du documentaire Dansons tant qu’on est pas mort de Cécile Lateule - Tripode Productions.
Dans l’oeuvre de Marie-Hélène Lafon, il est un personnage, une figure, une présence récurrente : La Santoire. Tantôt rivière, tantôt maison, tantôt lignée et
tantôt personnage, Santoire est le nom qui aurait pu devenir son pseudonyme, mais qui s’est fait métonymie d’une géographie puissante et intime. Autour de ce nom évocateur, Julia de Gasquet a imaginé une lecture en scène tissant habilement des extraits de livres et d’entretiens. En nous asseyant à l’établi de Marie-Hélène Lafon, nous suivrons les lignes de faille, les pleins et les déliés de ce corps de pays, pays d’écriture aussi. Sur scène, Maxime Le Gac-Olanié, Laurent Poitrenaux et Mélanie Traversier donnent corps à cette langue singulière. L’autrice est présente du début à la fin : spectatrice de ses fictions, elle y prend parfois voix.
Un projet initié à la Comédie du Livre-Montpellier (mai 2023), au Banquet du Lire – Lagrasse (août 2023) et à L’Equinoxe -Scène nationale de Châteauroux (octobre 2024) avec le soutien de la Colline-Théâtre National.
Cette création de la Compagnie de La Chamade a reçu le soutien de la Fondation Michalski.
Dans l’oeuvre de Marie-Hélène Lafon, il est un personnage, une figure, une présence récurrente : La Santoire. Tantôt rivière, tantôt maison, tantôt lignée et
tantôt personnage, Santoire est le nom qui aurait pu devenir son pseudonyme, mais qui s’est fait métonymie d’une géographie puissante et intime. Autour de ce nom évocateur, Julia de Gasquet a imaginé une lecture en scène tissant habilement des extraits de livres et d’entretiens. En nous asseyant à l’établi de Marie-Hélène Lafon, nous suivrons les lignes de faille, les pleins et les déliés de ce corps de pays, pays d’écriture aussi. Sur scène, Maxime Le Gac-Olanié, Laurent Poitrenaux et Mélanie Traversier donnent corps à cette langue singulière. L’autrice est présente du début à la fin : spectatrice de ses fictions, elle y prend parfois voix.
Un projet initié à la Comédie du Livre-Montpellier (mai 2023), au Banquet du Lire – Lagrasse (août 2023) et à L’Equinoxe -Scène nationale de Châteauroux (octobre 2024) avec le soutien de la Colline-Théâtre National.
Cette création de la Compagnie de La Chamade a reçu le soutien de la Fondation Michalski.
















































